En 1941, Stefan Zweig évoque les Kaffehaus : «C’étaient des espèces de clubs démocratiques accessibles à tous pour le prix modique d’une tasse de café et où chaque hôte pouvait demeurer pendant des heures, discuter, écrire, jouer aux cartes, recevoir sa correspondance et surtout absorber le contenu d’un nombre illimité de journaux et de revues. »